**Frappes en Russie : Berlin donne le feu vert à Kiev**
Dans une tournure explosive des événements, le chancelier allemand Olaf Scholz a ouvert la voie à l’Ukraine pour frapper des cibles à l’intérieur de la Russie, signalant une intensification majeure du conflit. Au cours d’une déclaration retentissante, il a souligné que les négociations avec Moscou échouent, laissant entrevoir un prolongement indéfini de la guerre.
Les nouvelles armes, notamment le missile Taurus, dont la portée est désormais étendue à 500 km, mettent des villes clés comme Moscou et Volgograd dans la ligne de mire de l’armée ukrainienne. Ce changement stratégique ouvre la porte à des frappes sur des cibles militaires vitales, incluant des dépôts d’armements et des infrastructures critiques.
La réaction russe a été immédiate. Des propagandistes d’État ont averti que des villes comme Saint-Pétersbourg et Vоронеж pourraient être menacées, tandis que la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a qualifié ces décisions de provocations inacceptables. Les tensions montent alors que la Russie se prépare à une éventuelle escalade.
En parallèle, les États-Unis doivent clarifier leur rôle dans cette nouvelle dynamique militaire, alors que des composants américains sont intégrés dans les missiles allemands. La peur d’une “cobelligérance” occidentale plane sur le conflit, exacerbant encore les tensions.
Ce tournant marque un moment crucial dans la guerre, offrant à l’Ukraine une opportunité de reprendre l’initiative et de redonner espoir à ses forces face à l’agression russe. Les implications de cette décision sont immenses, suscitant des inquiétudes quant aux répercussions sur le terrain. Les yeux du monde sont rivés sur cette nouvelle phase du conflit, alors que les sirènes de la guerre résonnent plus fort que jamais.