**Marine Le Pen : “Si je ne peux pas être candidate en 2027, évidemment que J. Bardella le sera”**
Dans une déclaration explosive ce matin, Marine Le Pen, en déplacement en Nouvelle-Calédonie, a affirmé que si elle n’était pas en mesure de se présenter à la présidentielle de 2027, son protégé Jordan Bardella serait prêt à prendre le relais. Cette annonce survient alors que Le Pen critique vivement la gestion actuelle du gouvernement face à la crise économique et sociale qui frappe l’archipel, évoquant un véritable drame qui perdure depuis des années.
Lors de son interview, la présidente du Rassemblement National a dénoncé les consultations proposées par Emmanuel Macron, les qualifiant de “mauvaise méthode”. Elle a insisté sur le fait que la priorité devrait être donnée aux projets économiques plutôt qu’à des débats institutionnels, arguant que les Calédoniens ont besoin de solutions concrètes pour leurs problèmes quotidiens. “Les réformes institutionnelles ne remplissent pas les frigos”, a-t-elle lancé, soulignant l’urgence d’agir.
Le Pen a également affirmé qu’elle allait écrire au président pour demander à participer aux consultations cruciales sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, tout en rejetant les accusations d’instrumentalisation de la situation. “Ceux qui critiquent n’ont pas de propositions concrètes”, a-t-elle déclaré, mettant en lumière un manque d’actions tangibles de la part de ses adversaires politiques.
Dans un contexte où la tension politique monte, cette prise de parole de Marine Le Pen pourrait redéfinir les contours de la prochaine présidentielle. Alors que le soutien pour Bardella grandit, l’avenir du Rassemblement National et de son leadership est plus incertain que jamais. La France est à un tournant, et la voix de Le Pen résonne comme un appel à l’action dans un climat d’angoisse économique et de division politique.