**Tensions croissantes : Marine Le Pen s’exprime depuis la Nouvelle-Calédonie sur la crise internationale et les enjeux locaux**
Dans une interview explosive diffusée ce matin depuis la Nouvelle-Calédonie, Marine Le Pen a vivement critiqué les déclarations d’Emmanuel Macron sur la reconnaissance de l’État palestinien, qualifiant cette démarche de “récompense” au Hamas, une organisation qu’elle désigne comme terroriste. Alors que Macron appelle à des sanctions contre Israël, Le Pen affirme que cela serait “profondément injuste” et soutient le droit d’Israël à se défendre face aux attaques terroristes.
En parallèle, la leader du Rassemblement National a évoqué la situation explosive en Nouvelle-Calédonie, un an après les émeutes meurtrières. Elle dénonce l’absence de dialogue constructif et appelle à une réforme économique essentielle pour redresser l’archipel en crise. Selon elle, la situation budgétaire de la Nouvelle-Calédonie est alarmante, et elle plaide pour le prolongement du chômage partiel afin d’éviter une crise sociale majeure.
Marine Le Pen a également critiqué la gestion des impôts, dénonçant un “chantage” de la part de l’État, qui envisagerait d’augmenter les impôts dans un contexte déjà difficile. Elle s’inquiète de l’impact des mesures fiscales sur les plus vulnérables, affirmant que les Français ne peuvent plus supporter de nouveaux efforts financiers.
Alors que la tension monte, Le Pen a affirmé sa volonté de participer aux discussions sur l’avenir de la Nouvelle-Calédonie, se présentant comme une voix incontournable du paysage politique. En réponse aux rumeurs de discordance avec Jordan Bardella, elle a réaffirmé leur bonne entente, tout en soulignant son expertise sur les questions calédoniennes.
Cette interview n’est pas seulement une plateforme pour les opinions de Le Pen ; elle marque un moment crucial dans le débat politique français, alors que des enjeux internationaux et locaux s’entrelacent dans un climat de tension palpable. Les événements à venir pourraient redéfinir le paysage politique français et la stabilité en Nouvelle-Calédonie.